Quel est le logement idéal des français ?

Quel est le logement idéal des français ?

le logement idéal des français

Une étude réalisée par Immonot.com va nous permettre de savoir quel est le logement idéal des français. Les 2/3 d’entre eux sont propriétaires mais quel est le type de logement qu’ils aiment le plus ? Neuf ou ancien, ville ou campagne, maison ou appartement ?

Les 3 critères les plus importants et qui sont à la base de cette étude sont l’emplacement, la luminosité et la vue.

La situation du bien

La ville remporte les suffrages avec 41%, la campagne est privilégiée par une personne sur trois pour des raisons de coûts et de tranquillité. La mer, moins accessible financièrement arrive en troisième position avec près de 25%. La montagne n’attirant que 2,7% des français.

Le bien doit se situer à 30 minutes maximum du travail (59%).

Neuf ou ancien ?

L’ancien l’emporte devant le neuf avec respectivement 30% et 17% pour des raisons là aussi évidentes de coûts et d’avantages fiscaux avec notamment la nouvelle loi MaPrimRénov’.

La majorité des français (53%) n’ont pas de préférence, du moment que les autres critères leur conviennent.

Type d’habitation

Logiquement la maison l’emporte largement avec 77% des voeux, 16% pour les appartements et 7% ne se prononcent pas.

La pièce préférée des français

Le salon qui est la pièce à vivre principale du logement arrive largement en tête dans les critères des français avec 69%. La cuisine est aussi très importante avec 21%. La salle de bain, les chambres et le bureau ne comptent à eux trois que 10% des préférences.

> Pour conclure cet article, le logement idéal des français est une maison ancienne située en ville pas trop loin des lieux de travail avec un beau salon et une belle cuisine.

Avec les aides de l’Etat pour la rénovation énergétique des biens dans certains centre-villes en France, ce souhait paraît être à la portée d’une majorité de ménages.

Rénovation énergétique : 100% des ménages aidés financièrement

Rénovation énergétique : 100% des ménages aidés financièrement

rénovation énergétique

A partir du 1er janvier 2020, la rénovation énergétique sera à l’ordre du jour puisque 100% des français seront récompensés. Du crédit d’impôt pour les 20% des ménages les plus aisés et des aides financières pour les 80% restant.

La transition écologique est en route et le CITE (crédit d’impôt pour la transition énergétique) concernera l’ensemble des ménages français. Le projet de loi de finances pour 2020 est donc lui aussi en travaux. Crédit d’impôt pour les ménages les plus aisés, aide financière pour tous les autres ménages, l’état français encourage vivement la rénovation énergétique. Deux mesures qui seront mises en place dès le 1er janvier 2020.

Isolation : crédit d’impôt pour 20% des ménages les plus aisés

Les ménages qui perçoivent plus de 27 000€ par an et 43 000€ pour les couples, seront concernés par ce crédit d’impôt. Le CITE les concernera donc toujours alors qu’il était prévu que ce ne soit plus le cas. Logique, puisqu’il s’agit de la catégorie de ménages qui réalise le plus de travaux de rénovation énergétique.

Cela va concerner les travaux d’isolation des parois opaques : murs, toit, combles et plancher.

Ce sont des travaux qui sont en général lourds et couteux et qui permettent d’obtenir de meilleurs résultats quant aux économies de consommation d’énergies.

Rénovation : une prime pour 80% des autres ménages

La deuxième modification de la loi de finance pour 2020 concerne les autres ménages. Pour ceux décidant de commencer des travaux de rénovation énergétique, ils percevront une aide financière à la condition de réaliser une suite de travaux. Cette aide sera de 150€ par mètre carré habitable pour les rénovations entières de maisons classées en catégorie d’énergie F ou G c’est à dire les maisons qui consomment le plus. Un seul devoir : que suite aux rénovations, la maison soit classée minimum en catégorie C ce qui représentera 55% de gain d’efficacité énergétique en énergies primaires.

2019 : une belle année pour le bâtiment

2019 : une belle année pour le bâtiment

le bâtiment

L’activité dans le logement neuf devrait permettre une meilleure année que prévue en 2019 pour le bâtiment en France. Informations relayées par la FFB (Fédération Française du Bâtiment).

Le bâtiment en France devrait bien se comporter finalement cette année selon la FFB. « Bonne surprise », « inespéré », les adjectifs sont nombreux pour une année qui était prévue plutôt négativement. Les records de baisse des taux ont finalement joué un grand rôle sur le logement neuf, surtout dans l’individuel, car dans le collectif cela permettra juste de limiter la casse. Dans l’ensemble, le bâtiment devrait progresser de 0,2% par rapport à 2018 alors qu’une baisse globale de 4,5% était initialement prévue.

La construction se porte donc bien dans le bâtiment.

Mais en ce qui concerne le secteur de la rénovation, cela reste compliqué. En effet, le crédit d’impôt transition énergétique (CITE) reste un problème. Il doit être réformé en 2020. Pour le moment, les particuliers hésitent par manque de clarté et de visibilité. Néanmoins, il est prévue une petite hausse des activités de rénovation en fin d’année car le CITE ne sera plus accessible aux ménages aisés l’an prochain. Du coup, une dernière accélération devrait avoir lieu en fin d’année 2019 avant que certains n’y aient plus droit.

Finalement, le chiffre pourrait se monter à plus de 1% de nouvelles activités dans le bâtiment d’ici à la fin de l’année. Cela jouera également sur les emplois estimés à 25 000 nouvelles embauches au lieu des 5000 prévues au départ.

Et si les taux remontent ?

Le bâtiment connaît donc une embellie finalement, mais principalement due aux taux exceptionnellement bas. Qu’en sera-t-il quand ces derniers remonteront ? Cela inquiète le monde du bâtiment, c’est pourquoi la FFB anticipe en posant la question au gouvernement afin que ce dernier prévoit des ajustements de lois. Deux questions préoccupent le bâtiment :

– Le PTZ doit être maintenu : en zones détendues B2 et C dans le neuf. Cela concerne des zones où les ménages à faibles revenus ont la possibilité d’acheter pour la première fois. Pour le moment, le gouvernement l’a déjà réduit de moitié pour le faire disparaître en 2020. L’argument cité par le bâtiment pour son maintien est le faible coût de revient au pays ;

– le CITE : il pourrait être transformé en prime en 2020. Il est aussi prévu la suppression de cette aide aux ménages les plus aisés, et cela inquiète le bâtiment car il s’agit de la catégorie de personnes qui réalise le plus de travaux en France. Ce deuxième sujet doit donc aussi être revu par le gouvernement.

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